Adrien et Ulysse sont arrivés 14ème

« Le Spi Ouest France 2024 c’était 4 jours de régate dans des conditions bien ventées voire musclées ! C’était une belle occasion de naviguer en équipage et de prendre mes marques dans du vent fort à bord de mon nouveau bateau. Il y avait pas mal de cadors de la classe Figaro, anciens et nouveaux, au rendez-vous pour ce grand rassemblement annuel à la Trinité-sur-Mer.
On a réussi à faire 8 manches, avec à la fois des parcours construits et des parcours côtiers à la journée qui ressemblent beaucoup aux formats des courses d’avant saison. Ça m’a permis de travailler les départs et la régate au contact, à la barre de mon nouveau Figaro 3 FAUN. J’ai profité des avis assez pointus de mes 3 co-équipiers pour emmagasiner de l’expérience en stratégie et en tactique, et c’est toujours très intéressant de pouvoir avoir un regard extérieur sur ma façon de naviguer pour corriger certains de mes défauts ».

« On termine 8ème sur 20 au classement général. Un Top 10 sur 20 bateaux expérimentés pour une première c’est une super place !« .

« La course a très mal commencé, on a mordu le départ sur la première course et on s’est donc fait disqualifier. On s’ est rattrapé le deuxième jour en remportant une manche, top et de bon augure vu le niveau du plateau ! La fin a été un peu plus mitigée. On termine 8ème sur 20 au classement général. Un Top 10 sur 20 bateaux expérimentés pour une première c’est une super place !
La pénalité du premier jour nous a refroidi, donc on a été moins incisifs après, mais cette course était idéale pour naviguer dans des conditions très sportives.
Ça m’a permis de tester des voiles que je ne connaissais pas pour faire mon choix futur définitif sur la Solitaire, et j’ai également pu valider quelques points techniques. C’est reparti en solitaire pour la prochaine course : départ de la Solo Maitre Coq le 28 avril aux Sables d’Olonne.
Mais avant tout, cette semaine je suis chez FAUN pour partager ma passion auprès des écoliers, et leur donner les bonnes habitudes de tri…et peut-être le goût du large ! »

Adrien Simon

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